Le fonds, qui pèse près de 7.000 milliards de couronnes (environ 735 milliards d'euros), avec un objectif de 35% sous forme d'obligations, ne peut plus depuis janvier 2014 acheter des titres de dette de Corée du Nord, Syrie et Iran, trois pays soumis à des sanctions internationales.
Après l'accord nucléaire signé en juillet 2015 avec les grandes puissances, les sanctions économiques contre l'Iran sont toutefois en passe d'être progressivement levées.
"Le ministère des Finances a donc, en accord avec le ministère des Affaires étrangères (...), décidé que les restrictions concernant le négoce d'obligations d'État iraniennes soient levées", a indiqué le ministère dans un communiqué.
L'accord conclu l'an dernier à Vienne entre l'Iran et le groupe P5+1 (États-Unis, Grande-Bretagne, France, Russie, Chine et Allemagne) limite le programme nucléaire iranien au nucléaire civil en échange d'une levée progressive et réversible des sanctions économiques imposées à l'Iran depuis 2006.
Source : L'Orient le jour, 18 février 2016
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